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Le gouvernement signe deux accords pour renforcer la filière auto nationale

Yassine El Amrani par Yassine El Amrani
28 juillet 2025
dans Actualités
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Le gouvernement signe deux accords pour renforcer la filière auto nationale

Le gouvernement signe deux accords pour renforcer la filière auto nationale

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En 2025, le Maroc renforce sa position de leader africain dans l’industrie automobile grâce à deux accords majeurs. Ces initiatives visent à stimuler l’emploi et à augmenter l’intégration locale, tout en capitalisant sur une croissance impressionnante du secteur (+36 % de production au premier semestre 2025).

Points clés :

  • Croissance record : +21,6 % du marché automobile au premier trimestre 2025.
  • Exportations : 15,1 milliards d’euros vers l’UE en 2023, surpassant la Chine.
  • Production : Objectif de 1 million de véhicules annuels d’ici fin 2025, avec une part croissante de modèles électriques et hybrides.
  • Investissements : Partenariat avec Gotion High-Tech pour une gigafactory de batteries à Kénitra (1,3 milliard de dollars).

Ces accords témoignent d’une transformation économique visant à faire du Maroc un acteur incontournable dans la production automobile et les technologies liées aux véhicules électriques.

Secteur automobile : Le Maroc surpasse les 13,6 Milliards d’euros générés par la Chine

Détails des deux accords

Deux accords stratégiques récemment signés par le gouvernement marocain viennent renforcer la filière automobile nationale. Ces partenariats, impliquant des acteurs publics et privés, visent à maximiser leur impact sur l’industrie.

Le premier accord associe le ministère de l’Industrie, le ministère de l’Inclusion économique, l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC) et l’Association marocaine pour l’industrie et la construction automobile (AMICA). L’objectif principal est de stimuler l’emploi dans le secteur automobile.

Le second accord formalise une collaboration entre le ministère de l’Industrie et du Commerce et l’AMICA. Ce partenariat renforce la coordination entre les politiques publiques et les besoins spécifiques de l’industrie. Voici un aperçu des objectifs et des domaines d’investissement ciblés par ces initiatives.

Objectifs principaux des accords

Le premier accord met l’accent sur le développement de l’emploi, en facilitant le recrutement de talents qualifiés pour répondre à la demande croissante de main-d’œuvre spécialisée.

Le second vise à promouvoir l’intégration locale dans l’industrie automobile. Il cherche également à augmenter la valeur ajoutée des exportations de véhicules et de composants. Ces efforts s’inscrivent dans une dynamique de croissance impressionnante, avec une augmentation de 148 % du secteur en moins de dix ans.

Montants d’investissement

Ces accords s’inscrivent dans un contexte d’investissements massifs. En 2023, les exportations automobiles ont atteint un niveau record de 157 milliards de dirhams, soit environ 14,3 milliards d’euros. Les exportations vers l’Union européenne ont, quant à elles, totalisé 15,1 milliards d’euros cette même année, positionnant le Maroc comme le principal partenaire commercial automobile de l’UE, surpassant même la Chine.

Cette dynamique se poursuit avec des projets ambitieux, comme l’accord signé en juin 2024 entre le groupe sino-européen GOTION High-Tech et l’État marocain. Ce partenariat vise à créer un écosystème industriel complet pour la fabrication de batteries électriques à Kénitra.

Zones cibles et zones industrielles

Une attention particulière est accordée à l’optimisation des zones industrielles existantes. Parmi elles, la zone de Kénitra occupe une place prioritaire, notamment dans le cadre du projet d’écosystème pour batteries électriques mené par GOTION High-Tech.

L’implication de l’AMICA garantit une approche territoriale coordonnée. Sous la présidence de Rachid Machou, l’association joue un rôle clé dans l’identification des zones les plus adaptées au développement industriel. Cette stratégie territoriale s’appuie sur des performances remarquables, comme la production record de plus de 350 000 véhicules entre janvier et juin 2025, témoignant de la capacité des zones industrielles marocaines à soutenir une croissance continue.

Domaines d’intervention prioritaires

Ces axes s’inscrivent dans la continuité des accords précédemment évoqués. Les initiatives gouvernementales mettent l’accent sur trois grands domaines stratégiques pour transformer l’industrie automobile marocaine. Ces priorités traduisent l’ambition du Maroc de se positionner comme un acteur majeur sur le marché mondial de l’automobile.

Modernisation des installations de production

La modernisation des usines vise à aligner les infrastructures marocaines sur les standards internationaux et à intégrer des technologies avancées. L’objectif est clair : produire un million de véhicules particuliers par an d’ici 2025, avec une part importante dédiée aux modèles hybrides et électriques.

Un exemple marquant est l’engagement du groupe Stellantis. En novembre 2022, le constructeur a annoncé un investissement de 300 millions d’euros pour doubler la capacité de production de son usine de Kénitra, qui atteindra 400 000 unités. La Citroën C3 électrique sera l’un des premiers modèles issus de la plateforme Smart Car.

Développement de la chaîne d’approvisionnement locale

Renforcer l’écosystème local est essentiel pour limiter la dépendance aux importations. Le Maroc ambitionne d’atteindre un taux d’intégration locale de 80 % d’ici 2025, un objectif qui repose sur le développement des fournisseurs nationaux.

Les résultats sont déjà visibles. Renault, par exemple, indique que près de 60 % des composants de ses véhicules sont désormais produits localement, comme les sièges et les essieux. De plus, le gouvernement soutient cette dynamique en offrant des avantages fiscaux et en simplifiant les démarches administratives pour attirer les investisseurs étrangers.

Technologies des véhicules électriques et hybrides

La transition vers les véhicules électriques et hybrides constitue un pilier central des accords. Le Maroc prévoit une augmentation de 53 % de la production de véhicules électriques, atteignant 107 000 unités d’ici fin 2025.

Cette ambition repose sur des projets industriels majeurs. En juin 2024, Gotion High-Tech a annoncé la construction de la première gigafactory de batteries pour véhicules électriques en Afrique, située à Kénitra. Avec un investissement initial de 1,3 milliard de dollars, l’usine démarrera avec une capacité de 20 GWh, extensible à 100 GWh dans les phases suivantes.

Cette stratégie s’inscrit dans une tendance mondiale. En 2023, les ventes de voitures électriques ont dépassé 17 millions d’unités, représentant plus de 20 % du marché. Les prévisions pour 2025 estiment que les ventes mondiales dépasseront 20 millions d’unités, soit plus d’un quart des véhicules écoulés dans le monde.

Impact économique et industriel

Les récents accords bouleversent l’économie marocaine, orientant le pays vers une production à forte valeur ajoutée. Ce changement marque une transition claire d’un modèle classique vers une économie axée sur la création de richesse. Les résultats sont tangibles : augmentation des compétences industrielles, hausse des exportations et création massive d’emplois.

Création d’emplois

Le secteur industriel marocain a déjà généré plus de 170 000 emplois directs en 2023. Et ce n’est qu’un début : 7 100 emplois qualifiés supplémentaires sont prévus d’ici 2027, grâce à des initiatives de formation ciblées. Ces nouveaux postes se concentrent sur des métiers techniques, nécessitant une montée en compétences de la main-d’œuvre locale.

Un exemple marquant est la gigafactory de Gotion High-Tech. En novembre 2024, la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) a signé un accord avec ce géant chinois pour construire une usine de batteries à Kénitra. Ce projet, représentant un investissement colossal de 1,3 milliard de dollars, générera des milliers d’emplois dans les technologies avancées.

Pour soutenir cette dynamique, le gouvernement encourage les partenariats entre entreprises, universités et centres de recherche. Ces collaborations visent à créer des formations sur mesure, alignées sur les besoins spécifiques de l’industrie.

Croissance de la production et des exportations

Les objectifs fixés sont ambitieux : atteindre un million de véhicules produits d’ici 2025. Cette évolution s’accompagne d’un virage vers les véhicules électriques et hybrides, redéfinissant la compétitivité du Maroc sur la scène mondiale. En effet, le royaume a surpassé la Chine, devenant le principal fournisseur automobile de l’Union européenne.

Le port de Tanger Med, pilier de cette réussite, a traité 578 500 véhicules en 2023, enregistrant une augmentation de 21 % par rapport à 2022. Ces performances renforcent non seulement le rôle de l’industrie automobile dans l’économie nationale, mais elles rehaussent également la position du Maroc dans le commerce mondial.

Impact sur le PIB et positionnement mondial

L’industrie automobile représente désormais plus de 10,4 % du PIB marocain et constitue plus de 25 % des exportations totales du pays. Ces chiffres soulignent l’importance cruciale de ce secteur dans l’économie nationale.

En 2023, le Maroc a également pris la tête des exportations automobiles vers l’Union européenne, devançant la Chine. Les exportations marocaines vers l’UE ont atteint une valeur impressionnante de 15,1 milliards d’euros. Cette avancée place le royaume en concurrence directe avec des géants comme l’Espagne.

« Il ne s’agit pas simplement de volumes d’exportation – il s’agit de réécrire la souveraineté industrielle du Maroc en s’intégrant dans des segments indispensables de l’économie mondiale. » – Abdelkader Fassi Fihri, professeur d’ingénierie économique à l’Université euro-méditerranéenne de Fès

Cette transformation reflète un changement structurel profond. Le Maroc se détourne des secteurs traditionnels pour s’intégrer pleinement dans des chaînes d’approvisionnement mondiales à haute technologie. Grâce à sa situation géographique stratégique et à ses accords commerciaux, le pays se positionne comme un lien essentiel entre l’Europe et l’Afrique.

Dans cette stratégie, le Maroc prévoit d’augmenter de 53 % la production de véhicules électriques d’ici fin 2025, atteignant ainsi 107 000 unités. Cette montée en puissance technologique prépare le pays à s’imposer sur les marchés de demain.

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Objectifs technologiques et environnementaux

Les accords visent à accélérer l’innovation et à renforcer la durabilité dans le secteur automobile marocain, tout en répondant aux enjeux climatiques mondiaux.

Programmes de recherche et développement

Le Maroc s’impose comme un pôle d’innovation pratique dans le secteur automobile, mettant l’accent sur le développement des compétences et la création de richesse. Cette stratégie favorise les transferts de technologie et stimule l’innovation locale, renforçant ainsi la position du pays comme un acteur clé de la mobilité électrique.

Un exemple marquant est l’investissement de Gotion High Tech, qui prévoit une gigafactory à Kénitra, un projet de 1,3 milliard de dollars. Ce sera la première usine de fabrication de batteries pour véhicules électriques en Afrique. De son côté, le constructeur chinois BYD prévoit de construire trois usines dédiées à la mobilité électrique, en phase avec l’objectif national d’atteindre une production d’un million de véhicules par an d’ici 2025.

L’innovation locale n’est pas en reste. Faouzi Annajah, entrepreneur marocain, a co-fondé NamX, une entreprise ayant développé le Hydrogen Utility Vehicle en partenariat avec Pininfarina. Cette initiative marque une transition du « Made in Morocco » vers le « Made by Morocco », illustrant la capacité du pays à concevoir ses propres solutions de mobilité respectueuse de l’environnement.

Ces progrès technologiques s’inscrivent dans le cadre d’une stratégie environnementale ambitieuse.

Objectifs environnementaux

Le Maroc s’est fixé des objectifs clairs pour réduire son empreinte écologique : atteindre 52 % d’énergies renouvelables dans son mix électrique d’ici 2030, et 80 % d’ici 2050. Ces efforts soutiennent directement l’essor des véhicules électriques en garantissant une énergie propre pour leur alimentation. Dans un secteur des transports représentant 38 % de la consommation énergétique finale du pays, le gouvernement vise une réduction de 24 % de cette consommation grâce à la Stratégie nationale d’efficacité énergétique.

Les ambitions en matière de production automobile reflètent cette vision. Le pays prévoit de produire 100 000 véhicules électriques d’ici 2025, avec pour objectif que 60 % des exportations automobiles soient liées à ce segment d’ici 2030. Les véhicules électriques à batterie (BEV) devraient enregistrer une croissance impressionnante, avec un taux annuel moyen de 34,82 % jusqu’en 2030.

Alignement avec les politiques nationales

Ces avancées s’intègrent dans une transformation stratégique plus large. Le Maroc a signé l’engagement sur le méthane et adopté celui sur les véhicules électriques lors de la COP26, affirmant son rôle actif dans les efforts climatiques mondiaux.

Lors des ESG Days organisés à Tanger en février 2025, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, a déclaré :

« L’ESG n’est plus optionnel mais un impératif ».

Cet événement, réunissant plus de 200 acteurs, a mis l’accent sur l’évaluation des pratiques ESG et la formation aux initiatives de chaînes d’approvisionnement durables.

L’ambassadeur de Chine au Maroc, Li Changlin, a également souligné :

« Pour les Chinois, le Maroc présente certains avantages par rapport à d’autres pays. Non seulement il est bien situé géographiquement, mais il dispose d’un environnement économique, social et politique stable avec une main-d’œuvre qualifiée et peu coûteuse ».

Grâce à cette stratégie globale, le Maroc se positionne comme un hub régional pour l’assemblage de véhicules respectueux de l’environnement, consolidant son rôle de leader de la mobilité durable en Afrique et au-delà.

Conclusion

Ces deux accords marquent un tournant dans le développement de l’industrie automobile. Ils allient croissance, innovation et respect de l’environnement, tout en renforçant l’emploi, l’intégration locale et les exportations. Avec des exportations atteignant 15,1 milliards d’euros en 2023, le Maroc s’affirme comme le principal partenaire commercial automobile de l’Union européenne, consolidant ainsi son rôle de hub industriel régional.

Ce dynamisme repose sur un cadre institutionnel favorable et des mesures incitatives concrètes. Le pays propose des avantages fiscaux attractifs, des démarches simplifiées pour les investisseurs étrangers, et des zones industrielles bénéficiant du statut de zone franche.

Sur le plan technologique, les ambitions sont claires : produire 100 000 véhicules électriques d’ici 2025 et orienter la majorité des exportations vers ce segment d’ici 2030. Ces objectifs s’appuient sur un mix énergétique composé à 52 % d’énergies renouvelables. En 2024, des partenariats stratégiques ont été signés avec des groupes chinois, comme Gotion High-Tech pour la construction d’une gigafactory et Sentury Tire pour une usine de pneus radiaux.

Ces initiatives renforcent la position du Maroc comme acteur clé de la mobilité durable dans la région. AutoActu.ma continuera de suivre de près ces développements stratégiques, en proposant des analyses détaillées et des mises à jour régulières. Notre plateforme reste votre source privilégiée pour comprendre les transformations du secteur automobile marocain et leur impact sur l’économie nationale et régionale.

FAQs

Quels sont les objectifs des nouveaux accords signés par le gouvernement marocain pour développer l’industrie automobile nationale ?

Le gouvernement marocain a récemment signé de nouveaux accords dans le but d’accroître les opportunités d’emploi, de développer les compétences locales et de faire progresser la production de véhicules électriques de 53 %. Ces initiatives s’inscrivent dans une stratégie plus large visant à consolider l’écosystème automobile du pays en optimisant la chaîne d’approvisionnement et en stimulant les exportations.

Ces efforts ne se limitent pas à soutenir les fabricants locaux. Ils visent également à générer de nouveaux emplois et à renforcer la compétitivité du Maroc sur la scène mondiale de l’industrie automobile.

Comment le Maroc compte-t-il atteindre une production annuelle d’un million de véhicules d’ici 2025, et quelle sera la place des modèles électriques et hybrides dans cette production ?

Le Maroc vise une production d’un million de véhicules d’ici 2025

Le Maroc s’est fixé un objectif ambitieux : produire un million de véhicules par an d’ici 2025, avec une attention particulière aux modèles électriques et hybrides. Cette montée en puissance s’appuie sur l’extension des capacités industrielles, notamment pour les véhicules électriques, dont la production devrait bondir de 53 % à l’horizon 2025.

Les prévisions annuelles annoncent la fabrication de près de 70 000 véhicules électriques et 120 000 véhicules hybrides. D’ici fin 2025, ce chiffre pourrait grimper à 107 000 véhicules électriques. Ces initiatives reflètent une stratégie visant à renforcer la position du Maroc sur le marché automobile mondial, tout en répondant à une demande croissante pour des moyens de transport plus respectueux de l’environnement.

Quels seront les avantages économiques et écologiques de la gigafactory de batteries à Kénitra par Gotion High-Tech ?

La gigafactory de batteries à Kénitra : un projet aux multiples retombées

La future gigafactory de batteries à Kénitra, portée par Gotion High-Tech, promet de transformer l’économie locale et nationale. Avec près de 17 000 emplois à la clé, ce projet va non seulement stimuler l’emploi, mais aussi renforcer la position du Maroc dans la chaîne de valeur mondiale des batteries électriques. En parallèle, il contribuera à générer des revenus en devises, tout en dynamisant le tissu industriel local.

Sur le plan écologique, cette usine mettra l’accent sur une énergie plus propre. Dès 2025, 80 % de l’énergie utilisée proviendra de sources renouvelables, réduisant considérablement son empreinte carbone. Cette démarche s’inscrit pleinement dans les ambitions du Maroc en matière de transition énergétique et de développement durable.

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